jeudi 6 décembre 2018

Zombillenium Tome 2 Ressources humaines d'Arthur de Pins


Tags sur les murs, avertissement du curé du coin : visiblement les esprits s'échauffent autour de Zombillénium. Quand on n'embauche que des morts (ou des sorcières !) dans une région où le taux de chômage est à 25%, il faut bien s'attendre à quelques frictions. Si l'on ajoute à ça des visiteurs une miette pénibles et des employés qui, pour être morts, n'en aimeraient pas moins prendre des vacances, on comprend que ce n'est pas trop le moment de venir parler revendications salariales à Francis Von Bloodt. (Dupuis)

Avec ce deuxième volume les aventures du parc Zombillenium continuent, pour le plus grand bonheur des lecteurs.
Cette fois-ci les employés du parc ont du souci à se faire car ce sont les villageois qui leur en veulent et sont bien décidés à en découvre avec eux.
Bon, ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'ils sont déjà morts.
Et que le parc a besoin de ressources humaines, enfin non humaines, pour y travailler.
C'est ce que risque de découvrir un couple venu y passer la journée avec leur fils.

Ce deuxième tome a du me plaire autant que le premier, j'ai déjà apprécié le contexte avec les voisins humains du parc qui en veulent aux morts y travaillant, sans connaître le fin mot de l'histoire.
Le personnage d'Aurélien prend aussi de l'ampleur et s'impose comme l'un des personnages incontournables.
J'ai un peu moins accroché au début à la trame secondaire dans ce tome, à savoir la famille en visite au parc où la mère se révèle moins lisse que son apparence avec en prime un secret, et le fils qui est quelque peu bizarre.
Il faut attendre les dernières pages pour connaître le fin mot de l'histoire, cette trame secondaire met un peu de temps à se mettre en place mais elle finit par trouver sa place dans la trame plus globale.
Finalement je m'habitue au graphisme que je qualifie de moderne et complètement ancré dans son époque ainsi que dans l'histoire.

L'histoire s'assombrit quelque peu, j'aime assez la tournure que prend cette histoire, raison pour laquelle sitôt ce tome finit j'ai enchaîné sur le suivant.

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